aux enfants de là-bas
combler ses blessures invisibles
avec les étoiles du temps
celles qui sont immuables
les rares qui brillent encore
comme des yeux d’enfants
aux rêves qui survivent
aux guerres et à la mort
des grands yeux d’enfants
tristes de déjà mourir
– Emmanuelle de Dardel
Grand merci ! J'ai vu un papillon blanc voleter comme cela hier soir, et voilà cette poésie. Chaque personne est…