toutes ces belles âmes toutes ces belles dames on les pense acquises et disponibles à jamais jusqu’au jour où on comprend enfin ce n’est pas de la disponibilité c’est de la gentillesse de la bienveillance et cela peut s’arrêter cela s’arrête s’il n’y a pas de respect la gentillesse est un art et non un dû
J’aime les ombres des jeunes feuilles fraîchement écloses du joli mois d’avril. Elles chantonnent doucement et se reflètent en finesse sur les sols murs routes. De l’art vivant éphémère. Rien que pour toi rien que pour moi. De l’art naturel pour les âmes tendres et curieuses.
Ce poème fait partie du nouveau recueil de poésie féminine https://poetesses8.wordpress.com/2025/07/01/gallienne-alicia/