À l’aube
À l’aube de tes grandes mains, marquées par l’impertinence et l’impermanence, on reconnaît ces cœurs trop grands. Ceux qui s’épanchent en lisant des livres au bord des grandes vitres de bus d’un autre monde. Ceux qui ensuite trempent leur plume dans leur sang pour écrire leur âme.
– Emmanuelle de Dardel
Poésie minutes pour Gontran Mint

Merci beaucoup Barbara, les oiseaux source d'inspiration sans fin