Ouvert depuis quelques jours, cet appel à poèmes propose un thème peu apprécié et pourtant nécessaire : la hargne.
Comme c’est un thème qui me touche, j’ai participé de suite. La poésie peut et doit parler de thèmes difficiles.
Cher Monsieur Jean S.,
Permettez-moi de vous adresser cette lettre ouverte. Aujourd’hui, nous apprenons qu’une poétesse a reçu le Prix Nobel de littérature 2024. J’emploie à dessein le mot poétesse, qui désigne le poète de sexe féminin.
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Au détour d’une balade, j’ai suivi un panneau qui indique la direction d’un musée d’art contemporain. Le musée se trouve dans une belle demeure du quartier résidentiel de Bellinzona Nord. On y accède par une petite rue sans issue. Doté de 3 salles, ce centre de taille modeste est un petit musée aux grands effets. On y découvre l’art contemporain de manière intimiste.
La forêt s’attendrit à l’écho de ta voix ;
Les lucioles d’or aiguisent leurs lumières ;
Je ceins d’iris ton front de vierge, et je revois
Le frisson blanc de tes paupières.
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