Tel l’empereur, chimérique
collectionneur d’emblèmes,
il se fabrique un jardin
de mots
pour y déverser l’univers
et désignant du doigt
l’invisible,
veille à l’occulte alternance
de l’eau, de la fange et
du ciel.
Tel l’empereur, chimérique
collectionneur d’emblèmes,
il se fabrique un jardin
de mots
pour y déverser l’univers
et désignant du doigt
l’invisible,
veille à l’occulte alternance
de l’eau, de la fange et
du ciel.
l’homme qui détournait son chemin
naturellement et sans réfléchir…
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La chambre est pleine d’ombre ; on entend vaguement
Poème de Sylvaine Garderet à sur le blog
#poesie
tôt le matin…
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