tes mots prisonniers
on ne les entend pas
ils sont inaudibles
incompréhensibles
ils frappent pourtant
ton corps à chaque
battement
ils veulent parler
mais on ne les entend pas
on ne les veut pas
Emmanuelle de Dardel
tes mots prisonniers
on ne les entend pas
ils sont inaudibles
incompréhensibles
ils frappent pourtant
ton corps à chaque
battement
ils veulent parler
mais on ne les entend pas
on ne les veut pas
Emmanuelle de Dardel
les mille soupirs
de la lumière du printemps
encore fraîche et insolente…
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dans le flux
et le reflux
du silence
et des nuages…
Suite sur le blog de poésie
les étoiles naissent
à l’encre
d’une seule
de tes pupilles…
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