Vivre dans le feu: confessions, Marina Tsvetaeva

«Ai-je cessé de vous aimer ? Non, vous n’avez pas changé et je n’ai pas changé – non plus. Une seule chose a changé : ma concentration névralgique sur vous. Vous n’avez pas cessé d’exister pour moi, j’ai cessé d’exister en vous. Mon heure avec vous s’est achevée, reste mon éternité avec vous. Oh, attardez-vous un peu là-dessus ! En dehors des passions, il y a encore l’immensité. C’est dans l’immensité qu’a lieu désormais notre rencontre. »

Marina Tsvetaeva (1892-1941)— Vivre dans le feu: confessions
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Ecrit par Emmanuelle de Dardel

Lire de la poésie me transporte depuis que j'en ai lu pour la première fois, à l'école.

lundi 22 mai 2023

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L’inconstant

L’inconstant

Mes yeux s’en sont allés
derrière une brunette
qui passait.

Était de nacre noire,
était raisin violet.
De sa traîne de feu
elle a fouetté mon sang…

Pablo Neruda

Suite sur le blog

Fugacité DLXXXVII

au sommet de nous il y a

l’audace du vent la peau du ciel

les plumes que l’on risque pour des mots…

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#poesie #poesiecontemporaine

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